JULES BECKMAN
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PRESSE
« Frappant la batterie, frottant des vases en terre, passoire, couvercle, le musicien Jules Beckman donne la cadence comme s'il créait le spectacle. A tel point qu'il fait figure de maître tout-puissant face à des êtres uniformes dans leurs costumes de ville, tournoyant sans but avant de trouver enfin de quoi s'exprimer par leur art. Pareil travail sonore, ajusté, pertinent, est si rare sur la piste... Qu'il chante un rock-jazz teinté de mélancolie, et bientôt les corps se meuvent avec plus de générosité. » Emmanuelle Bouchez pour Télérama (sur Autochtone).
« Le plus étonnant, cependant, était que le musicien Beckman, en à peine deux ans, est devenu un danseur d’une remarquable intrépidité et même d’une réelle grâce. » Rita Felciano pour San Francisco Bay Guardian (sur Mandala).
«Lancer et attraper deux chaises volantes, Beckman et Hennessy concourent dans un duo d'endurance et de grâce. » Carol Lloyd pour SF Weekly (sur Entertainment for the Apocalypse).
« Chaque solo était une petite merveille d'énergie cinétique : et tout particulièrement le solo et la chute spastique de Jules Beckman, comme quelqu'un qui a subi un choc électrique puissant.» Keith White pour The Bay Area Reporter (sur For Your Own Good).
«Jules Beckman retourne à l'excitation, à la joie, et à la terreur, avec sa propre marque spéciale de rituel, de performance « soul ». Beckman combine la chanson et la danse dans une incroyable présentation intitulée Ripe.» Neva Chonin pour San Francisco Chronicle (sur Ripe).
« ... Beckman joue une variété de curieux instruments ... » Alexandra Grilikhes pour Phildelphia Welcomat (sur Mira Cycle 1).
« Le plus remarquable est cependant la musique live qui est intégralement tissé au travail. ... Beckman chante, danse et joue une fantastique variété d'instruments. » Suzanne Carbonneau Levy pour The Washington Post (sur Mira Cycle 1).
« Beckman amadoue des sons frappés, tordus et innovants à partir d'une variété d'instruments à cordes et de percussions... il chante de façon hantante, versant son cœur dans une chanson qui est presque comme un gémissement... Sa polyvalence est une pure énergie infectieuse. Il ne décide pas de sauter ; il saute parce qu'il serait impossible de ne pas le faire. À considérer comme un artiste extraordinairement doué. » Robert Hurwitt pour San Francisco Examiner (sur Mandala).
PRIX
+ Barcelona Critics Prize du meilleur spectacle de danse 2015 : The blind poet de Jan Lauwers & Needcompany
+ Lauréat des Jeunes Talents Cirque 2006 : avec Libertivore pour leur spectacle éponyme
+ Isadora Duncan Dance Award pour la meilleur chorégraphie 1998 : Ice/Car/Cage de Jules Beckman, Jess Curtis et Keith Hennessy
+ SF Weekly Black Box Award, 1997 : Chorégraphie, Ice/Car/Cage de Jules Beckman, Jess Curtis et Keith Hennessy.
+ SF Weekly Black Box Award, 1997 : Performance post-genre, Entertainment for the Apocalypse, de CORE.
+ Isadora Duncan Dance Award, 1994 : réalisation exceptionnelle pour la performance, Mira II de Contraband